My name is Blond
(or a first name, or whatever)
L'inadmissible est ici, pour poursuivre sur la lancée du Taylor-isme, celui de la confusion. Pour tenter de mieux cerner cet intéressant phénomène, le chercheur qu'un powerpoint effraie (ce mot n'est même pas dans le Robert) s'est ici livré au délicat exercice du schéma, ce qui 1) lui a pris trois milliers d'années 2) l'a bien consciencieusement dégoûté des blondes. Parce que oui, lecteur: il est ici question de jeunes actrices blondes nés après 1980 que dire interchangeables consisterait à insulter, mais qui sont à même de provoquer sur la rétine et à l'oreille – on le verra – une forme de confusion dommageable pour la juste appréciation 1) de l'industrie du cinéma 2) des ragots people.
Ce qui suit est un schéma simple, parce qu'en littérature on n'a normalement pas le droit de procéder par schéma et que, depuis le lycée, l'habitude s'en est perdue (le chercheur s'encanaille comme il peut); sont indiqués en italique, sur les flèches bleu océan, les points de contact entre les blondes (le premier qui lance 'une synapse, quoi', est prié de verser une contribution au Monsieur qui fait Les Chevaliers du Zodiaque: la série abrégée pour qu'il réalise enfin l'épisode de la maison des Poissons). Lançons-nous donc, lunettes sur le nez et oreille aux aguets, dans la galaxie des blondes.
Moi j'aurais dit bleu roi, mais ça ne change rien au fait que ce schéma est splendide !
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